Saint Padre Pio

Pourquoi fêtons-nous la Saint Padre Pio le 23 septembre ?

Histoire de Saint Padre Pio (1887 – 1968) : moine Capucin

Entré à 16 ans chez les Capucins, Francesco Forgione est ordonné en 1910. De santé fragile, il portera les stigmates du Christ à partir de 1918 qui le feront beaucoup souffrir jusqu’à sa mort.

Il n’en demeure pas moins très actif, il aurait confessé quelques 25 000 fidèles chaque année et de nombreux miracles lui ont été attribués. Son attitude humble et disponible, son caractère aimable font de lui l’un des personnages les plus populaires de l’Eglise Italienne du XXe siècle.

En 1956, Padre Pio fonde la Casa Sollievo della Sofferenza, (Maison du soulagement de la souffrance), à San Giovanni Rotondo, dans les Pouilles, hôpital à visage humain où il finira ses jours. La ville est devenue un lieu de pèlerinage.

Pour en savoir plus sur le Padre Pio, Saint Du Jour vous conseille la lecture du site : http://www.padrepio.catholicwebservices.com/FRANCAISE/Biographie.htm

 

Fête : 23 septembre
Etat :  prêtre, capucin
Naissance : 1887 (Pietrelcina, Italie)
Mort : 1968 (San Giovanni Rotondo, Italie)
Date de canonisation : 2002
Patronage : capucins

Miracles de Saint Padre Pio

Une mère a raconté:  «Ma fille aînée, qui a vu le jour en 1953, fut sauvée en 1955 grâce à Padre Pio.  En effet, le matin du 6 janvier 1955, alors que mon mari et moi étions à la messe, la fillette, restée à la maison avec ses grands-parents et l’un de ses oncles, tomba dans une cuve d’eau bouillante.  Elle subit des brûlures au troisième degré à l’abdomen ainsi qu’à la partie postérieure du corps.  Je suppliai Padre Pio de nous aider à sauver la fillette.  Le médecin, qui arriva une heure et demie après que nous l’eûmes appelé, n’administra aucun médicament et nous recommanda de conduire ma fille à l’hôpital, car il redoutait le pire.  Après le départ du médecin, je commençai à invoquer Padre Pio. Vers midi, alors que je me préparais pour me rendre à l’hôpital, ma fillette m’appela de sa chambre et me dit:  «Maman, les brûlures, elles sont parties.»  Je lui demandai qui les lui avait enlevées.  Elle me répondit:  «C’est Padre Pio qui est venu.  Il a posé sur mes brûlures les blessures de sa main.»  En effet, le corps de la fillette ne montrait plus aucune trace de brûlure.

 

Maria, mère d’un enfant qui était tombé malade peu après sa naissance, apprit que le bambin souffrait d’un mal mystérieux et probablement incurable.  Après avoir entendu les sombres pronostics des médecins, Maria décida de se rendre à San Giovanni Rotondo. Elle habitait une région située de l’autre côté des Pouilles, mais avait beaucoup entendu parler d’un moine stigmatisé qui avait obtenu des miracles, guérissait les malades et rendait espoir aux malheureux.  Pendant ce long voyage, le bambin mourut.  Après l’avoir veillé toute la nuit à bord du train, Maria l’enveloppa de vêtements et le coucha dans sa mallette.  Le lendemain, elle arriva à San Giovanni Rotondo, consternée d’avoir perdu son fils, auquel elle tenait plus que tout, mais toujours animée d’une grande foi.  Le soir, elle fit la queue pour se confesser au moine du Gargano, serrant étroitement la mallette où elle avait placé le corps de son enfant, maintenant décédé depuis plus de vingt-quatre heures.  Quand elle arriva devant Padre Pio, qui était incliné dans le confessionnal, priant, Maria s’agenouilla, pleurant à chaudes larmes, et implora son aide. Il la regarda intensément.  Maria ouvrit la mallette et il lui montra le petit corps inerte. Profondément ému, bouleversé par la douleur de cette mère, Padre Pio prit l’enfant, posa sur sa tête l’une de ses mains stigmatisées; puis, levant les yeux au ciel, il fit une prière. Peu après, l’enfant remua d’abord les jambes, puis les bras, paraissant s’éveiller d’un long sommeil.  Padre Pio dit à Maria:  «Mère, pourquoi cries-tu, ne vois-tu pas que ton fils dort?»   Mais les cris de la femme attirèrent l’attention de la foule et provoquèrent une ovation.  Tous parlèrent du miracle.  C’était en mai 1925 et les télégraphes du monde entier ont transmis la nouvelle de l’humble moine qui guérissait les estropiés et ressuscitait les morts.

Citation de Saint Padre Pio

« Priez, espérez et n’ayez crainte. »

« Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci. Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude. Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité. Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître. Car il n’y a rien qui renforce tant nos défauts que l’inquiétude et l’obsession de s’en débarrasser. »

Originally posted 2017-09-23 00:01:52.